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Les Spice Girls
Je travaille chez Virgin. Soit. Mon poste étant de traquer les sites de M.P.3 illégaux la société m'a grâcieusement prêté un échantillon de plusieurs de leurs productions. C'est ainsi qu'entre l'album référence en matière de trip-hop "Blue Lines" de Massive Attack et le "Homework" de Daft Punk, gloire de la techno acide, j'ai pû trouver l'album "Spice" des Girls du même nom.
Ici, on avait atteint le summum du mauvais goût. J'ai donc cherché pour vous l'inexcusable, parce qu'en matière de summum, elles se posent là dans toutes les catégories ces cinq gonzesses-la.
Faut pas croire, mais ça ne manque pas les sites persos sur le sujet, suffit d'écumer AltaVista en demandant nonchalamment "Qui sont les Spice Girls ?" et de faire pareil avec Nomade.fr, Lycos, Yahoo ! etc... Mais le mieux c'est de chercher dans MultiMania, RESpublica... Mais tout d'abord, je vais quand même vous présenter brièvement ces cinq nanas, en quelque sorte la honte du féminisme, tout compte fait représentant ce que les femmes devraient voir pour éviter de faire pareil. Les cinq Girls La rouquine que vous voyez ici, il s'agit de Geri (de son vrai nom Geraldine Estelle Halliwell) appelée aussi "Ginger Spice"... Née le 06 Août 1972 à Watford (tiens à l'heure où je vous écris c'est son anniversaire...). La plus exubérante du groupe et la plus provocatrice aussi, on voit le topo... Fallait se rappeler de la "main au cul" du Prince Charles, ça valait 10 ! Elle quittera le groupe un peu plus tard, mais je me pencherai sur son cas personnel plus loin, parce que dans son genre elle n'est pas mal non plus. La blondasse qui se trémousse à ses côtés est Emma (Emma Lee Bunton) appelée "Baby Spice". Du 21 Janvier 1976 (Londres) on comprend le surnom, lorsqu'elle a été recrutée comme ses "copines" elle n'avait pas encore 17 ans... Justement, le recrutement de ces cinq "chanteuses" (ah ?) on en reparlera aussi plus loin. La meuf en peau de léopard est Victoria (Victoria Addams Beckham) dite "Posh Spice", du 07 Avril 1975, Hertfordshire (rien que le nom du bled natal tu rigoles). Si, si, vous avez bien lu, cette fille qui aimait dire qu'elle s'habillait chez Gucci et Armani (honteux) a réussi à se marier avec le footballeur de Manchester David Beckham... Lorsque l'on sait ce que je pense du "foot", hein, ça laisse rêveur un tel couple. Mais celle-là en s'habillant chez les grands couturiers jurait avec le reste du groupe dont les goûts vestimentaires plus que bizarres seront bien évidemment démontés plus loin. Juste à côté d'elle on trouve Mel C. (Melanie Jayne Chisholm) qui est venue au monde (est-ce un bien ?) le 12 Janvier 1975 à Liverpool. Sponsorisée par Adidas on l'appelait "Sporty Spice" car il paraît qu'elle causait que d'une chose : de foot... Doit y avoir de la jalousie avec la précédente... Mais après l'éclatement du groupe c'est la seule actuellement qui arrive à vendre de ses disques en solo. Serait-ce LA "chanteuse" du groupe ? Mouais, en attendant je vous reparlerai de la qualité musicale douteuse de ce groupe. La dernière en orange est Mel B. (Melanie Janine Brown) née le 29 Mai 1975 à Leeds. Il ont pris une "black" pour se donner bon sentiment, parce que vous n'allez pas me faire croire que les anglais ne sont pas racistes non plus ? On en profitera pour en reparler des anglais, avec le complot sur la mort de Diana, le colonialisme, Margaret Thatcher... Ah oui, y'en a des tas de choses à dire. Le recrutement
"On recherche cinq starlettes ayant peu ou pas de jugeotte étant capables de se trémousser sur une "musique" tout en chantant en play-back. Argent facile garanti".
Cinq soi-disantes "chanteuses" à la voix éteinte ou criarde, passant du registre de Lara Fabian à celui d'Axelle Red... Bref, c'est pas de la musique. C'est du cul.
Réfléchissez bien : un groupe composé de cinq filles dont le Q.I. ne dépasse pas celui d'un photographe de "Voici" dont la plastique assez avantageuse (mais pas trop) est tout simplement destiné à une chose : la vente de millions d'albums et de produits dérivés pour éveiller les instincts libidineux des gamins qui n'ont même pas dix ans et qui cherchent le "Playboy" spécial Spice Girls dans leur marchand de journaux habituel...
Mais mon boss, Richard Branson, ne s'était pas gourré : ça a marché. Des millions de disques vendus, autant de tasses, de t-shirts, de posters, de cassettes, de bouquins vendus à prix d'or mais qu'importe : y'avait du fric. Des tas de pognon. De l'oseille, du flouze, du blé... Bref, des tas de thunes extorquées de manière malhonnête mais légale aux parents obligés de céder aux caprices de leurs gosses. Leur tenue Éloge de la provocation et du mauvais goût. Provocation ? Hélas, oui. Des spectacles et des apparitions télévisées où un maquillage surabondant se dispute la vedette avec des tenues "légères" on dira, avec mini-jupes, chaussures à semelles compensées, Wonderbras™ et t-shirts moulants à la clef, sans compter le facteur "couleur" (vous verrez cela dans une autre rubrique de mon site) avec des oranges vifs, des roses bonbons et des verts pommes, sans compter le style "peau de léopard" ou "zèbre" dépassé depuis belle lurette, même dans le Bois de Boulogne. La photo en haut n'est pas assez représentative (j'ai voulu vous épargner). Et n'oublions pas les divers détails : piercing aux endroits les plus saugrenus, au nombril pour Geri, dans la langue pour Mel B. (!!!!!) sans compter des tatouages et des coiffures certaines fois à la limite du "raisonnable". Cela dit, ce genre d'arsenal vestimentaire peut très bien aller à certaines personnes (quoique...), mais ici c'est tellement flagrant et kitsch que c'en est écœurant. Une "musique" On a fait des considération sur la libido exacerbée de ces cinq nymphomanes et sur leurs goûts plus qu'interpellants en matière d'habillement...
Mais on a oublié qu'au départ il s'agit d'un... groupe musical.
Des chansons toutes plus inintéressantes les unes que les autres car reposant sur les mêmes ingrédients commerciaux éculés maintes fois utilisés... Au niveau de la composition, pas de surprise... On prend le dépliant du C.D. et on regarde les noms : il s'agit toujours des quatre mêmes gars qui composent : deux pour la "musique" de dingue, deux autres pour les slows... Avec bien entendu une indication "Spice Girls" à côté pour dire à cela "elles auront participé à l'écriture"... Une honte pour la profession de compositeur que de telles personnes imbues d'elles-mêmes puissent être assimilées à cette noble corporation.
Depuis le temps, les Spice Girls c'est du passé, après le départ de Geri le 30 Mai 1998 Virgin a gentiment laissé tranquille ce genre d'"activités"... La Perfide Albion Les anglais, on le voit bien aux Spice Girls, ont un sens inné et aigu du mauvais goût poussé à son zénith.
On ne reviendra pas sur les divers détails de leur quotidien, tout le monde le sait qu'ils ne font jamais rien comme tout le monde. Sans commentaire lorsque l'on sait que cette personne défend des personnes immorales telles que Augusto Pinochet, ou encore qu'elle est responsable d'un marasme économique, écologique et sociologique dans son pays.
Rappel des faits.
Et n'oublions pas la privatisation de tout ce qui était possible de privatiser, ce qui a d'ailleurs amené toutes sortes de grèves dans quasiment tous les secteurs. Et Lady Diana, alors ? "Accidenti" ? Pas si sûr que ça.
Il ne faut pas perdre de vue que la monarchie anglaise est composée des gens qui ont pratiqué longtemps (et cela dure aujourd'hui) un colonialisme excessif, annexant à tour de bras pays du tiers-monde bon à être exploités. En gros ils sont racistes pour ceux qui n'auraient rien capté. Et Lady Diana, vous imaginez qu'ils auraient pû la laisser s'acoquiner avec Dodi Al-Fayed, un "arabe" ? Que nenni mes amis, il a fallu que la Couronne échafaude un plan diabolique pour y parvenir. Un plan parfait.
Quoi de plus parfait que l'Hôtel Ritz, appartenant au père de l'intéressé : Mohammed Al-Fayed ?
Bizarre non, toutes ces caméras placées dans l'Hôtel Ritz ? On va dire que je suis parano... Seul bémol : Trevor Rhys-Jones, le garde du corps de Diana, en a réchappé. Témoin gênant ? Plausible, même qu'il a sûrement reçu une petite lettre lui "recommandant" d'éviter de parler... La Perfide Albion nous étonnera toujours en matière de machiavélisme...
La scandaleuse Geraldine Estelle Halliwell s'est engagée dans les Spice Girls uniquement pour le fric.
D'abord, la racoleuse a fait des apparitions dans le magazine "Playboy" donc pas vraiment pour les gamins...
Toujours est-il que le gars a jugé bon d'engager cette fille, un élément perturbateur et instable pouvant des fois faire mouche... Mais, je le rappelle, elle a fait ça pour l'argent. Uniquement l'argent. Le côté "amitié dans le groupe" et tout ce tralala ne l'intéressait pas. Et c'est flagrant...
Le 30 Mai 1998 donc, elle claque la porte du groupe (vous auriez vu la tête de mon collègue dans notre bureau c'était quelque chose).
Depuis l'ex-Spice Girl a sorti un premier album de ses compositions en solo (hum, hum...) intitulé... je ne sais plus trop comment, vu que ce n'est pas mon entreprise qui le produit et que j'ai d'autres choses à utiliser mon argent qu'à acheter des disques idiots... Depuis tout ça, on a pu entendre en boucle sur toutes les radios et toutes les télévisions de France et de Navarre le tube qu'elle a réussi à imposer : «It's Raining Men», malheureuse reprise des Weather Sisters, dont le tube est aujourd'hui massacré...
Bon, on a fait le tour de la question.
Comme de bien entendu, si vous avez quelque remarque à me faire ou si vous êtes un fan des Spice Girls outré, écrivez-moi ou laissez un message sur le forum.
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